Poète amateur
Mes poèmes
Poète amateur depuis 2006
La Poésie. Entre vers, rimes et sonorités douces, retrouvez ici l’ensemble de mes poèmes écrits de 2006 à aujourd’hui sur des sujets divers et variés.
Certains de ces poèmes ont également été mis sous forme de vidéos.
J’veux faire rêver les gens
Du haut d’mes 17 ans
Et tu verras Papa
Tu seras fier de moi
Je sais que t’es là Papa
J’te sens, tu crois quoi ?
Jt’oublie pas moi
Personne t’oublie Papa, on peut pas
J’sais pas c’qui m’a pris Papa
Jt’ai écouté tu vois
J’me suis levé d’mon lit
Et maintenant tu vois Papa, j’écris
J’sais que c’était toi ce froid
C’était pas mon imagination
Ni même la chanson
Car tu sais Papa, bah je t’aime moi
Alors j’continuerai
J’te dois bien ça
T’étais tout pour moi, mon Papa
Non je ne suis pas triste, je savais qu’tu resterai
J’pensais bien que tu partirai pas
C’est ta famille ici, là, tu vois ?
Bien sur que tu vois, je sais Papa
Tu sais tout, t’entend tout, et tu ressent tout, oui Papa
C’est triste mais c’est comme ça
Après tout, si t’était là, moi j’serais pas moi
Oui Papa, j’ai changé tu sais
Oui, pas toujours en bien, mais j’essaye tu sais
Maintenant repose toi bien Papa
Même si maintenant tu ne fais que ça
Prends soin de Papy aussi
Et surtout, ne te fais plus de soucis
« Je t’aime Papa »
Musique du cœur
Musique d’humeur
Toi qui guide mes mots
Toi qui court les flots
Les notes courent dans le vent
Les mots se gravent dans ma tête
Mon cœur entre en fête
Mon esprit se ferme au temps
C’est comme un monde magique
C’est celui de la musique
C’est un monde a part
Où les pensées deviennent Art
Je ne peux pas vivre sans
C’est comme des moments
Des moments d’amour
Des moments, des moments toujours
Mais la réalité te rattrape
Au temps ton cœur se frappe
Usant la mémoire
Oubliant le devoir
Et tu restes là
Sans trop avoir le choix
Tu vis ta vie
C’est déjà bien tu te dis
Je me suis levé tôt ce matin
J’avais envie d’écrire
J’avais envie de rire demain
J’avais envie de cesser de mourir
J’ai pris le car ce matin
J’avais envie de lui sourire
J’avais envie de lui prendre sa main
Mais j’ai simplement du rougir
Je suis allé en cours ce matin
J’avais le cœur emplis de doutes
La folie m’insufflait le chagrin
Seul à présent le silence m’écoute
Je pense que c’était toujours ce matin
J’ai du rêvé ne serait-ce qu’un instant
Un peu comme si on frappait le temps
Un peu comme si je caressais sa main
Je vis toujours ce matin
Enfermé dans cet instant
Captivé par ce moment
Furtif comme l’instinct
J’aimerais aussi que ce matin
Soit tous mes lendemains
Comme une réaction incompréhensible
Comme une approche difficile
J’aimerais que demain soit ce matin
Que je puisse te tendre ma main
Que nous puissions nous connaître
Que je puisse renaître
Plus besoin de réflechir
Je n’aurais plus à souffrir
Car je sais que c’est Elle
Elle qui rend ma vie si belle
Je ne peux me passer de ses lèvres
Car sans elle je crève
Je ne peux me passer de ses mains
Sans lesquelles ma vie n’aurait pas de lendemain
Je sais que je peux tout lui donner
Confiance, amour et baiser
Car je sais qu’elle est mon avenir
Et que je voudrais rester son devenir
Le soleil vient tout juste de se lever
Laissant apercevoir ses reflets sur la baie
Accompagnant le murmure des flots
Comme le souffle du vent dans le dos
Un homme est assis les pieds dans le sable
Il reste pensif, contemplant son lendemain
Ne bougeant plus, doutant de son grand âge
Le sable encore chaud se frotte à ses mains
Il pense à ce qu’il aurait pu devenir
Et se dit que ça aurait pu être pire
Après tout son existence fut heureuse
Hormis son enfance plus douloureuse
Il était heureux toute sa vie
Préférant des théories à ses amis
Vivant amoureux
Rejetant le plus douloureux
Les premiers rayons du soleil apparaissent
S’affichent alors des signes de faiblesses
Tel un chevalier un jour de tournoi
Son cœur cède au froid
Lentement il s’écroule
Doucement des larmes coulent
Alors que ses yeux commencent à se fermer
Il se met à tout oublier
La nature aussi l’oubliera
C’est à peine si elle le reconnaitra
Lui qui paraissait bienveillant
S’effondre aujourd’hui sous le poids du temps
Comme si plus rien n’avait d’importance
Comme si la mort était sa dernière chance
De leur faire comprendre à toutes et à tous
Que la vie est belle est douce
Et les vagues emporteront son corps
Fatalement et simplement
Il n’y aura pas de survivants
Tel est le destin de la mort
Ce sont ces moments là
Que le poète a choisi
Pour crier tout bas
Un problème de sa vie
La solitude pèse tous ses mots
Alors que l’amour porte le cœur au plus haut
Mais l’esprit dans tout ça
Est tiraillé entre haut et bas
Que ferait il sans elle
Trouverait il encore la vie si belle
Si un jour elle partait
Si pour toujours elle le quittait
Elle est sa motivation
Elle est son inspiration
Il ne peut s’en passer
Il en est envouté
Que pourrait lui apporter des amis
Si ce n’est que plus de soucis
Un plus grand nombre de relations
Entraine le plus souvent des déceptions
Une famille soudée
Une femme aimée
Aussi peu de gratitude
Pour autant de solitude
Tout commença ici bas
Dans le cœur d’un nouveau née
Qui ne pouvait se douter
Que le commencement partirait de là
Un début comme les autres
Différent de celui d’un apôtre
Une vie quelques peu agitée
Et immanquablement des destins croisés
Je nommerais ceci la destiné
En effet c’était prévu
Et personne ne l’a perçu
Personne n’aurait pu deviner
Même pas pour lui
Qui en lisant ses paroles souris
Se dit qu’il est trop prétentieux
Et qu’être différent et bien trop précieux
Alors il laisse sa vanité s’exprimer
Sans trop savoir la définition de tout cela
Il avance pas à pas
En se pensant seul à l’éternité
Comme si tout n’était qu’illusion
Comme si tout approchait de la perfection
Et qu’il n’en croyait pas un mot
Même si tout pouvait être toujours plus beau
Il continuait d’avancer
Approfondissant ses théories
Et gravant ses récits
Sans même savoir où il allait
Ce monde si parfait aux yeux de tous
Lui apparaissait comme une gigantesque illusion
Tout ceci orchestré par les dires de vieux fous
Rendant ainsi l’exception comme une lâche solution
Tout était faux
Et c’est un bourrage de crâne collectif
Qui avait rendu l’avenir décisif
Tels des messages gravés à même la peau
Et c’est ainsi que dérive la conception
Tout partait d’un malentendu de perception
Ainsi l’existence même
S’invitait dans son esprit et ses poèmes
Une seule chose lui ramenait les pieds sur Terre
Assurément l’être qui lui est le plus cher
La passion du plus beau rêve humain
La fusion née du croisement de deux destins
C’est l’histoire d’un homme amoureux
C’est l’instant d’un homme qui écrit heureux
Ses yeux le font voyager
Et son cœur lui fait rêver éveillé
Il l’aime et ne peut se passer d’elle
Il fuit son passé à coup de « je t’aime »
Et lui exprime son amour à travers ce poème
Elle qui rend sa vie si belle
Vous le penserez prétentieux
Seulement parce qu’il se veut différent
Elle le trouvera aimant
Parce qu’il en est tombé amoureux
Permettez moi de vous présentez le problème
Il semblerait que seulement elle l’aime
Et que le fossé entre l’amour et l’amitié
Se creuse sans trop laisser de possibilités
Alors il se remet à écrire
Alors il se remet à les maudire
Ces mensonges qu’il croyait installés
Dans une partie de son cœur nommé amitié
Mais il continue d’avancer
Sans oublier son passé de solitude
Et aussi toute cette ingratitude
Qui lui donnerait presque pitié
Mais cessons de nous lamenter
La vie est toujours devant
Un peu comme le vent qui au fil du temps
Nous rappellera de mutuellement nous aimer
La vie est un cocktail de couleurs
La vie remplit notre air de questions
Et lorsque viendra votre heure
Il est très probable que vous n’ayez pas de solution
Mais c’est comme ça
C’était, c’est et ça restera
Beau, incompréhensible et éphémère
Comme un père et une mère
Alors il s’est dit qu’il fallait en profiter
Et tant mieux si il trouve des réponses à ses questions
Et si personne ne l’écoute, tant pis, chacun son opinion
Après tout, le plus important c’est de pouvoir aimer
Je t’aime.
Âme amoureuse
En perte d’inspiration
Je n’en connais pas la raison
Mais je préfère la rendre heureuse
Alors que mon cœur part au galop
Mes pensées quittent les mots
Je préfère lui dire que je l’aime
Plutôt qu’essayer de composer un poème
Je ne me pose pas de questions
J’avance avec mon cœur et la passion
Pour tout ce qui fait d’elle
A chaque fois que mon cœur l’appelle
Ses yeux pétillent la joie
Et son sourire crée en moi
Comme un monde inexploré
Où je voudrais me jeter les yeux fermés
Les pieds dans l’eau
Et là tête dans les nuages
Tu te demande si c’est bien sage
De s’emporter si haut
Tu voulais demander à ton cœur
Mais celui ci s’est emballé
Et tu te laisse diriger
Par tous ses sauts d’humeur
Mais tu es bien là
Au milieu des flots
Espérant que croiser les doigts
Suffira pour paraitre plus beau
Tu ne comprendras pas
Tu trouveras ça juste différent
Tu ne marcheras que par élans
Jusqu’à tomber au plus bas